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RSE : Et si on s'occupait aussi de l'invisible ?


Je me souviens du temps où quand je parlais du monde subtil, soit l'on me prenait pour une menteuse, une affabulatrice, soit on me classait dans la catégorie des illuminés, des mystiques.

Depuis quelques années, je constate avec bonheur que de nombreuses personnes en font l'expérience et qu'échanger sur ce sujet ne relève plus du tabou.

Par ailleurs, il est maintenant reconnu scientifiquement que nous sommes entourés d'un champ informationnel invisible permanent et que nous entretenons avec lui, la plupart du temps à notre insu, un échange d'influences réciproques constant.

Dans la préoccupation de développement durable qui se diffuse maintenant largement dans le monde professionnel, il me semble essentiel que nous prenions aussi en compte l'invisible dans nos démarches RSE.


Les plans subtils existent

L'espace entre les objets matériels est rempli de tout un monde vibratoire, d'ondes, d'informations qui circulent en permanence.

Même si la science n'explique pas complètement ces phénomènes, elle s'en est emparée et en a fait le constat. Que ce soit les expériences en physique quantique qui démontrent que des électrons peuvent s'influencer mutuellement alors qu'ils se situent à des milliers de kilomètres l'un de l'autre ou celles menées par l'université de Princeton sous le nom de Global Consciousness Project, pour ne citer qu'elles, démontrent que les paroles, les pensées et les émotions voyagent dans cet univers invisible et subtil, sans que nous en ayons forcément conscience.

Dès lors nous en devenons de fait totalement responsables.


Exercer notre RSE sur le plan subtil

Depuis longtemps je porte attention aux égrégores que je nourris.

Je suis en conscience de ce qui émane de moi et je tâche d'envoyer dans les interstices subtils le plus possible de paroles (voir mon article sur le vocabulaire guerrier) et de pensées positives, d'émotions de joie, de vibration d'amour.

Et je m'accueille avec bienveillance et douceur quand ce n'est pas le cas, puisque je suis parfaitement imparfaite.

Je reste également en vigilance des visions et ressentis qui me traversent et tente de discerner au mieux lesquels m'appartiennent ou pas, afin d'adapter mes actions et réactions. Je n'y parviens pas toujours, c'est sûr, mais j'accueille ça aussi.

Cela posé, j'en suis venue à la conclusion que malgré toute ma bonne volonté, je ne peux m'empêcher de polluer ces plans subtils et qu'il est donc nécessaire de procéder régulièrement à leur nettoyage énergétique. C'est pareil dans le plan physique, même si nous faisons attention à ne pas salir, nous salir, vient toujours un moment où nous devons laver notre corps, nos habitations, nos locaux professionnels, alors pareillement nous devons également les débarrasser de leurs impuretés vibratoires.

Toutes sortes de techniques existent pour ce faire, personnellement j'utilise mes illustrations d'art vibratoire et ma danse méditative de purification et d'harmonisation reçue en canalisation dans les années 1990.


L'art vibratoire pour dépolluer les plans subtils des entreprises


Les conflits, les disputes, les rancœurs, les débats houleux,

le stress, la jalousie, la colère et j'en passe, tout ça laisse des traces informationnelles dans les endroits où ils se sont déroulés.

Des projets bloqués, un développement qui stagne, un manque de créativité, peuvent être le signal qu'il est temps d'opérer un nettoyage des plans subtils.

L'art, tel que je le pratique, permet de désagréger ces miasmes poisseux grâce à l'imprégnation vibratoire qu'il diffuse. Les œuvres, créées in situ ou non, éphémères ou non, ont un impact sur la structure invisible et les informations subtiles qu'elles véhiculent génèrent une relance, une fluidification de la circulation énergétique. Découvrir Art'Monia


Pour moi, la réalité ne s'arrête pas à l'aspect visible des choses.

C'est comme un iceberg, 10 % émergés et 90 % immergés.

Toute ma démarche artistique a toujours été fondée sur comment aller au-delà des apparences, du visible, à la rencontre des ressentis profonds, de la riche vie invisible.

Alors il m'est naturel d'intégrer dans ma démarche de responsabilité sociétale cette vision holistique.



Mon ami Édouard Hue, chorégraphe de la Beaver Dam Company a une expression que j'adore et que je fais mienne aujourd'hui pour clore le propos de cet article : Après nous avoir fourni quelques explications sur les prochaines pratiques qu'il nous propose de vivre lors de ses ateliers danse, il nous demande : «Make sens ?»

...et il nous laisse libres ensuite d'expérimenter à notre guise...

Toute une philosophie !...

Que je partage...

Alors ? «Make sens ?»





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